Quand : Le mercredi 29 décembre 2010, vers 17h55 (mais récurrent…).
Où : Dans le train de banlieue Montréal – Saint-Hilaire.
Contexte : En partant de Montréal, chaque soir, on nous informe (ou nous rappelle) qu’on ne peut descendre que par les quatre wagons de queue pour les deux premières gares.
«Le débarquement à Saint-Lambert et Saint-Hubert se fera par les quatre derniers ‘ouâgons’ seulement.» (bis)
Ça me fait sourire (et presque rire) chaque fois que j’entends l’opérateur dire ‘ouâgon’ (plutôt que ‘vagon’). À noter que Lambert et Hubert sont aussi bien diphtongués (‘Lambâââïre’ et ‘Hubâââïre’), ce qui ajoute au charme de l’énoncé quotidien.
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