lundi 30 août 2010
Quand les canonisés changent de sexe
Bravo Transport Québec.
Et ne me dites pas que pour St-Hélène (sic), ils ont manqué d’espace pour ajouter un e. Ooooooh que non!
Sujet :
observations,
photos,
signalisation routière
vendredi 27 août 2010
Climat...attisé
J’ai récemment visité Toronto et j’ai été étonnée du fait suivant : les voitures de métro sont climatisées. Ça m’a alors rappelé que les autobus de la ville d’Ottawa, quand j’y avais été il y a quelques années déjà, l’étaient aussi.
Comment se fait-il, dans ce cas, que ni nos autobus ni nos voitures ne métro ne soient climatisées à Montréal? Est-ce pcq il ferait supposément moins chaud à Montréal qu’à Toronto ou Ottawa? Dans les faits, peut-être un peu, mais je ne crois pas que ça puisse décemment être la raison fondamentale de cette non-climatisation. Serait-ce alors pcq l’Ontario, ou plus précisément les compagnies de transport des villes de Toronto et d’Ottawa, savent mieux gérer leurs fonds que notre gentille Société de transport de Montréal?
Je suis intriguée de ce fait et comprends mal qu’on ne puisse pas, à des frais raisonnables, climatiser nos véhicules de transport en commun, surtout si on considère qu’on est en mesure de chauffer nos autobus en hiver (le principe de «perte» de froid l’été étant le même que celui de perte de chaleur l’hiver).
Comment se fait-il, dans ce cas, que ni nos autobus ni nos voitures ne métro ne soient climatisées à Montréal? Est-ce pcq il ferait supposément moins chaud à Montréal qu’à Toronto ou Ottawa? Dans les faits, peut-être un peu, mais je ne crois pas que ça puisse décemment être la raison fondamentale de cette non-climatisation. Serait-ce alors pcq l’Ontario, ou plus précisément les compagnies de transport des villes de Toronto et d’Ottawa, savent mieux gérer leurs fonds que notre gentille Société de transport de Montréal?
Je suis intriguée de ce fait et comprends mal qu’on ne puisse pas, à des frais raisonnables, climatiser nos véhicules de transport en commun, surtout si on considère qu’on est en mesure de chauffer nos autobus en hiver (le principe de «perte» de froid l’été étant le même que celui de perte de chaleur l’hiver).
mercredi 25 août 2010
La non-violence
J’écoutais distraitement Météomédia en toile de fond quand j’ai tout à coup aperçu cet écran, qui m’a fait pouffer de rire :
Avais-je bien lu? Des «orages non violents»? Quelque chose me semblait particulièrement incongru dans cette tournure, bien que je pus facilement comprendre l’opposition qu’on voulait créer par rapport aux orages dits «violents». Mais quelque chose me dérangeait dans cette appelation et j’ai, comme à mon habitude, voulu aller vérifier si j’avais raison d’être agacée.
«Non-violence
La non-violence est une philosophie qui délégitime la violence, promeut une attitude de respect de l'autre dans le conflit et une stratégie d'action politique pour combattre les injustices.»(1)
Bon, évidemment, c’est en effet ce premier sens que j’ai eu en tête lorsque j’ai pouffé de rire. Penser à des «orages pacifiques» avait qqch de particulièrement amusant, en soi. Pourtant dans les faits, rien ne nous dit que l’expression non violent ne peut être utilisée autrement qu’au sens de «pacifique».
Allons-y d’un autre raisonnement alors. Normalement, quand on dit de quelque chose qu’il est «non X», c’est que par définition, si on ne spécifie pas, l’objet serait intrinsèquement «X». Non? Donc, parler d’orages non violents revient à sous-entendre que, par défaut, les orages SERAIENT violents. Et je ne crois justement pas que ça soit le cas.
Ainsi, la distinction orages et orages violents est à mon avis plus exacte que la distinction orages non violents et orages violents.
Qu’en pensez-vous?
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(1) Source : Wikipedia
Avais-je bien lu? Des «orages non violents»? Quelque chose me semblait particulièrement incongru dans cette tournure, bien que je pus facilement comprendre l’opposition qu’on voulait créer par rapport aux orages dits «violents». Mais quelque chose me dérangeait dans cette appelation et j’ai, comme à mon habitude, voulu aller vérifier si j’avais raison d’être agacée.
«Non-violence
La non-violence est une philosophie qui délégitime la violence, promeut une attitude de respect de l'autre dans le conflit et une stratégie d'action politique pour combattre les injustices.»(1)
Bon, évidemment, c’est en effet ce premier sens que j’ai eu en tête lorsque j’ai pouffé de rire. Penser à des «orages pacifiques» avait qqch de particulièrement amusant, en soi. Pourtant dans les faits, rien ne nous dit que l’expression non violent ne peut être utilisée autrement qu’au sens de «pacifique».
Allons-y d’un autre raisonnement alors. Normalement, quand on dit de quelque chose qu’il est «non X», c’est que par définition, si on ne spécifie pas, l’objet serait intrinsèquement «X». Non? Donc, parler d’orages non violents revient à sous-entendre que, par défaut, les orages SERAIENT violents. Et je ne crois justement pas que ça soit le cas.
Ainsi, la distinction orages et orages violents est à mon avis plus exacte que la distinction orages non violents et orages violents.
Qu’en pensez-vous?
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(1) Source : Wikipedia
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lundi 23 août 2010
Les Simpsons
vendredi 20 août 2010
Quand les accents «circonflexent» et se promènent
Source : site Web de Future Shop.
Trouvez pas ça joli qu’on déplace les circonflexes au gré de notre fantaisie comme ça? C’est encore bien mieux que de les enlever, comme le propose la réforme de l’orthographe, non?
Allons-y gaiement : côut, gôut, mâitre, entrâiner, connâitre, je crôis, bôite, jêune, châine… Je trouve ça bien joli à vrai dire.
Et tant qu’à faire, modifions aussi quelques mots issus de la même racine : gostatif (pour gustatif), mastro (plutôt que maestro), et exagérons finalement avec ausgute (pour auguste).
Amusant, non? :)
mercredi 18 août 2010
Quand le sens figuré fait oublier le sens littéral
Intrigué de savoir si la locution en deçà devait ou non prendre le trait d’union (la réponse est non), un ami à moi est tout à coup tombé sur une définition dont lui comme moi ignorions encore l’existence :
«DEÇÀ adv.
1. De ce côté-ci (opposé à delà).
2. LOC. PRÉP. MODERNE En deçà de. De ce côté-ci. FIGURÉ Rester en deçà de la vérité, ne pas l’atteindre (cf. En dessous de).»(1)
«DEÇÀ adv.
(VX) De ce côté-ci (par oppostion à delà). La route était coupée; ils durent s’arrêter en deçà.
LOCUTIONS
- Deçà, delà. Ça et là, au hasard.
- En deçà de, loc. prép. De ce côté-ci. Il pêche en deçà de la rivière.
- En deçà de, loc. prép. (FIG.) Au-dessous de. La population de la ville est en deçà de sept milions.»(2)
J’ai ainsi été bien étonnée de découvrir que le seul sens que je connaissais jusqu’alors à l’expression en deçà, soit le sens «en dessous de» ou «au-dessous de», était finalement le sens figuré d’une expression dont j’ignorais encore le sens littéral!
Comme quoi la langue ne cesse jamais de nous en apprendre.
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(1) [Le nouveau Petit Robert, édition 2004. Paris.]
(2) [DE VILLERS, Marie-Éva (2007). Multidictionnaire de la langue française, 4e édition. Éditions Québec Amérique inc.]
«DEÇÀ adv.
1. De ce côté-ci (opposé à delà).
2. LOC. PRÉP. MODERNE En deçà de. De ce côté-ci. FIGURÉ Rester en deçà de la vérité, ne pas l’atteindre (cf. En dessous de).»(1)
«DEÇÀ adv.
(VX) De ce côté-ci (par oppostion à delà). La route était coupée; ils durent s’arrêter en deçà.
LOCUTIONS
- Deçà, delà. Ça et là, au hasard.
- En deçà de, loc. prép. De ce côté-ci. Il pêche en deçà de la rivière.
- En deçà de, loc. prép. (FIG.) Au-dessous de. La population de la ville est en deçà de sept milions.»(2)
J’ai ainsi été bien étonnée de découvrir que le seul sens que je connaissais jusqu’alors à l’expression en deçà, soit le sens «en dessous de» ou «au-dessous de», était finalement le sens figuré d’une expression dont j’ignorais encore le sens littéral!
Comme quoi la langue ne cesse jamais de nous en apprendre.
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(1) [Le nouveau Petit Robert, édition 2004. Paris.]
(2) [DE VILLERS, Marie-Éva (2007). Multidictionnaire de la langue française, 4e édition. Éditions Québec Amérique inc.]
lundi 16 août 2010
Rayures «insignifiantes»
Vous souvenez-vous vos cours de conduite? Qui d’entre vous voit l’erreur de signalisation sur ces trois photos? J’ai posé la question à quelques personnes de mon entourage et j’ai été étonnée de constater que peu d’entre elles étaient au courant des signification et fonction réelles de ces panneaux.
Plusieurs croient donc que ces pancartes à rayures jaunes et noires ne servent qu’à attirer l’attention sur la présence d’un obstacle à contourner. En soi, ce n’est pas faux, mais ce n’est là qu’une partie de l’explication de la signification de ces pancartes.
«Indiquent la présence d'obstacles que le conducteur doit contourner. Les barres obliques sont toujours orientées vers la chaussée du côté que le conducteur doit emprunter pour éviter le danger. Le danger signalé est généralement un obstacle, tel qu'un rocher ou le parapet d'un pont. Il s'agit donc de ne pas se tromper de côté à emprunter.»(1)
Si vous retounez jeter un œil à mes trois photos, vous constaterez donc que, en respectant la signalisation routière installée, on devrait : 1- rouler sur le gazon avec son vélo; 2- rouler en sens inverse de la circulation et risquer un face à face; 3- sortir de la route et foncer dans un mur de béton.
Pas très inspirant tout ça… ni très rassurant.
Ce qui m’intrigue le plus, c’est de savoir d’où provient l’erreur. Est-ce l’ouvrier poseur de pancarte qui n’a simplement pas porté attention, ignorant le sens associé aux pancartes, ou est-ce que l’erreur pourrait provenir de «plus haut» dans la chaîne hiérarchique?
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NB : À noter que la pancarte sur la 2e photo a été remplacée par «la bonne» pancarte, quelques semaines à peine après que je l’eus prise en photo. Comme quoi quelqu’un d’autre que moi s’est aperçu de l’erreur et en a informé les responsables.
(1) Source : Transports Québec
vendredi 13 août 2010
Entendu – no 1
Sur le modèle du semble-t-il-défunt-site d’«entendu.ca», voici une perle d’erreur entendue.
Quand : Le dimanche 8 août 2010.
Où : Dans l’autobus qui me menait de Montréal à Toronto.
Contexte : Le chauffeur expliquait qu’à l’arrêt suivant, de nouveaux passagers allaient monter, et que, si on voulait descendre de l’autobus le temps d’une pause mais qu’on voulait conserver notre place, valait mieux y laisser un objet.
«Pour garder votre place et éviter tout mésentendu, veuillez svp laisser quelque chose à votre siège.»
Nouvelle définition
MÉSENTENDU
Mélange entre malentedu et mésentente, qui signifie «malentendu qui résulte en mésentente».
Quand : Le dimanche 8 août 2010.
Où : Dans l’autobus qui me menait de Montréal à Toronto.
Contexte : Le chauffeur expliquait qu’à l’arrêt suivant, de nouveaux passagers allaient monter, et que, si on voulait descendre de l’autobus le temps d’une pause mais qu’on voulait conserver notre place, valait mieux y laisser un objet.
«Pour garder votre place et éviter tout mésentendu, veuillez svp laisser quelque chose à votre siège.»
Nouvelle définition
MÉSENTENDU
Mélange entre malentedu et mésentente, qui signifie «malentendu qui résulte en mésentente».
mercredi 11 août 2010
Questionnements ferroviaires
Arrêtée derrière ce véhicule de transport adapté, j’ai aperçu l’expression traverses à niveau et me suis tout à coup demandé si elle n’était pas fautive. Je connaissais évidemment passage à niveau et traverse de chemin de fer, ce qui me rendit profondément perplexe devant le mélange des deux expressions. De plus, le fait de voir cette expression apposée de façon officielle sur un véhicule de la compagnie de transport en commun de ma ville a alors suffi à me faire douter de mes intuitions.
PASSAGE
«II 3. Voie aménagée pour permettre de passer. PASSAGE À NIVEAU : croisement d’une voie ferrée et d’une route.»(1)
«LOCUTIONS
- Passage à niveau. Croisement d’une route et d’une voie ferrée. Des passages à niveau (et non des *traverses de chemin de fer).»(2)
TRAVERSE
«1. Pièce de bois, de métal qu’on met en travers d’une construction pour en assembler les éléments.
2. Chacune des poutres placées perpendiculairement à la voie, sous les rails, dont elle maintient l’écartement.
3. (Qc) Lieu de passage d’un fleuve, d’une rivière, d’un lac ou d’un bras de mer où l’on exploite un service de traversier.
FORME FAUTIVE
*traverse (de chemin de fer). Anglicisme au sens de passage à niveau.»(2)
Ainsi, non seulement traverse à niveau s’avère en effet un étrange mélange des expressions mentionnées en introduction, mais traverse de chemin de fer est aussi considérée comme fautive, puisque taxée d’anglicisme.
Heureuse de constater que mes intuitions linguistiques sont une fois de plus exactes, je pense sérieusement à offrir mes services de correctrice (même ponctuels) au Réseau de transport de Longueuil. :)
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(1) [Le nouveau Petit Robert, édition 2004. Paris.]
(2) [DE VILLERS, Marie-Éva (2007). Multidictionnaire de la langue française, 4e édition. Éditions Québec Amérique inc.]
lundi 9 août 2010
Bornes chromatiques
Les bornes fontaines rouges, on les sait, sont pour les pompiers, pour éteindre les incendies, et on en retrouve un peu partout le long de nos rues.
Les bornes fontaines bleues, certains le savent, sont des puits d’accès en cas d’incendie dans le métro de Montréal (remarquez bien où vous en apercevez : toujours dans les parages d’une station de métro).
Les bornes fontaines vertes, peu le savent, servent d’alimentation pour le tunnel de l’autoroute Ville-Marie.
Les bornes fontaines jaunes, moi je l’ignore encore, servent à quoi, elles (au Québec du moins, pcq j’ai récemment constaté que les bornes fontaines «normales» de Toronto sont toutes jaunes)?
Les bornes fontaines bleues, certains le savent, sont des puits d’accès en cas d’incendie dans le métro de Montréal (remarquez bien où vous en apercevez : toujours dans les parages d’une station de métro).
Les bornes fontaines vertes, peu le savent, servent d’alimentation pour le tunnel de l’autoroute Ville-Marie.
Les bornes fontaines jaunes, moi je l’ignore encore, servent à quoi, elles (au Québec du moins, pcq j’ai récemment constaté que les bornes fontaines «normales» de Toronto sont toutes jaunes)?
vendredi 6 août 2010
Longueuil, j’y croîsTM
Un petit élan de nostalgie et d’appartenance à ma ville a resurgi lorsque je suis passée devant cet «anicen» logo de la Ville de Longueuil.
Je me suis dit : «Ah tiens! Il n’est pas prêt de disparaître celui-là au moins.» Les drapeaux sont changés, les pancartes de rues sont remplacées, mais le logo encastré dans le béton, lui, serait plus coûteux (et surtout plus compliqué!) à remplacer.
En effet, lors des fusions municipales de 2002, le logo de la Ville de Longueuil a été modifié :
de ceci
pour cela
Je l’aimais, «mon» ancien logo (adopté l’année de ma naissance, ai-je récemment appris). D’abord, pcq il avait VRAIMENT l’air d’un logo, contrairement au nouveau, qui lui ne ressemble à mon avis qu’à une police vaguement stylisée.
Mais ensuite, pcq il avait une signification. Ce logo était construit en trois sections : la première section représentait par sa couleur bleue le fleuve Saint-Laurent qui borde la rive de la Ville et par sa forme en ‘L’ la première lettre du nom de la Ville; la deuxième section, toujours en forme de ‘L’, repésentait par sa couleur verte les zones résidentielles si nombreuses (et majoritaires) dans la Ville; la troisième section, verte également et dessinée en forme de feuille d’arbre, représentait les parcs et espaces verts. Finalement, chacune des surfaces représentant respectivement le fleuve, les zones résidentielles et les parcs témoignait d’un rapport de superficie les unes par rapport aux autres, le fleuve occupant la plus vaste superficie et les parcs, la plus petite superficie.
Je me suis dit : «Ah tiens! Il n’est pas prêt de disparaître celui-là au moins.» Les drapeaux sont changés, les pancartes de rues sont remplacées, mais le logo encastré dans le béton, lui, serait plus coûteux (et surtout plus compliqué!) à remplacer.
En effet, lors des fusions municipales de 2002, le logo de la Ville de Longueuil a été modifié :
Je l’aimais, «mon» ancien logo (adopté l’année de ma naissance, ai-je récemment appris). D’abord, pcq il avait VRAIMENT l’air d’un logo, contrairement au nouveau, qui lui ne ressemble à mon avis qu’à une police vaguement stylisée.
Mais ensuite, pcq il avait une signification. Ce logo était construit en trois sections : la première section représentait par sa couleur bleue le fleuve Saint-Laurent qui borde la rive de la Ville et par sa forme en ‘L’ la première lettre du nom de la Ville; la deuxième section, toujours en forme de ‘L’, repésentait par sa couleur verte les zones résidentielles si nombreuses (et majoritaires) dans la Ville; la troisième section, verte également et dessinée en forme de feuille d’arbre, représentait les parcs et espaces verts. Finalement, chacune des surfaces représentant respectivement le fleuve, les zones résidentielles et les parcs témoignait d’un rapport de superficie les unes par rapport aux autres, le fleuve occupant la plus vaste superficie et les parcs, la plus petite superficie.
mercredi 4 août 2010
Licencié pour abus d’alcool… Ou d’anglais?
En passant devant cette enseigne de dépanneur, j’étais amusée à l’idée d’apposer à licencié le sens de «congédié». Un «dépanneur congédié» a en effet quelque chose de vaguement saugrenu, non? Évidemment, partie de cette réflexion, j’ai questionné l’intuition qui m’a fait flairer l’impropriété lexicale, pour aller vérifier dans mes dictionnaires.
Petit Robert
«LICENCIÉ, n.
1. Personne qui a passé avec succès les épreuves de la license.
2. Titulaire d’une licence sportive.»(1)
«LICENCIER v. tr.
1. Faire quitter un lieu (à qqn).
2. MOD. Priver (qqn) de son emploi, de sa fonction. à débaucher, congédier, remercier, renvoyer.»(1)
Multidictionnaire
«LICENCIÉ adj. et n.
Titulaire d’une licence.»(2)
«LICENCE n.f.
1. Autorisation officielle.
2. Grade universitaire.
FORMES FAUTIVES
*licence. Anglicisme au sens de permis (de conduire), de plaque (d’immatricultion).
*licence complète. Calque de «fully licensed» pour vin, bière et spiritueux.»(2)
Le verdict : licencié est ici un anglicisme, qui aurait plutôt dû se lire : «Dépanneur St-Lambert – vin, bière et spiritueux».
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(1) [Le nouveau Petit Robert, édition 2004. Paris.]
(2) [DE VILLERS, Marie-Éva (2007). Multidictionnaire de la langue française, 4e édition. Éditions Québec Amérique inc.]
lundi 2 août 2010
«TD : Des services bancaires, confortables.TM»
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